Hydrothérapie du côlon

Hydrothérapie du côlon (Full Cleaning Method)

Expérience – Compétence – Conseils

Au bénéfice d’un certificat de formation

Plus de 500 hydrothérapies du colon dispensées chaque année.

Deutsch  – Português

L’hydrothérapie du colon (HTC) est une thérapie dont le but est de nettoyer et de libérer complètement le côlon de ses couches de masse fécale déshydratées et collées qui se sont accumulées depuis l’enfance et d’éliminer les organismes vivants, causes de pathologies et de mal-être.

Pour un nettoyage complet (Full Cleaning Method, qui requière une formation spécifique à la méthode) 4 séances d’HTC sont indispensables. Vous pourrez constater que c’est lors des 3e et 4e séances que l’évacuation est la plus conséquente. Quelques fois, une 5e séance est nécessaire. Cette thérapie se fait une fois dans la vie, au moyen d’un appareil particulier, spécifique à la méthode et doté de réglages de pressions variables et ajustables durant la séance. Par la suite, une séance par année est recommandée, voire nécessaire, afin de maintenir son côlon dans des conditions optimales. Ce qui s’apparente à une hygiène de vie.

L’hydrothérapie du colon est dispensée jusqu’à l’âge de 58 – 60 ans. Passé cet âge, une irrigation colonique est plus indiquée.

Prix d’une séance d’hydrothérapie du côlon:

  • avec assurance complémentaire:      CHF 145.00
  • sans assurance complémentaire:      CHF 125.00

Pour une méthode douce de prévention et d’hygiène du côlon, voir irrigation côlonique

Les pathologies (constipation, paresse intestinale, surpoids, insomnie, etc…) ont souvent un caractère psycho-somatique, suite à un choc émotionnel. Elles nécessitent, dans ce cas, l’intervention de la psycho-bio-acupressure (voir psycho-bio-acupressure) associée, durant le traitement, à l’hydrothérapie du colon.

Ces thérapies sont prises en charge par les assurances complémentaires. Si non pris en charge par l’assurance complémentaire ainsi que pour les personnes n’étant pas au bénéfice d’une assurance complémentaire, prix spécial: renseignements au 079 590 27 09

La santé par le «bien éliminer»

Un intestin nettoyé prévient l’intoxication progressive de l’organisme, favorise les processus de guérison et offre une sensation de bien-être.

Un traitement par hydrothérapie du côlon :

  • améliore le transit intestinal et le fonctionnement du système immunitaire
  • détoxique le corps
  • régénère le foie
  • apaise les problèmes digestifs
  • apporte un bien-être sur les plans physique, énergétique, émotionnel et mental.

Notre intestin s’encrasse peu à peu 

Notre alimentation, le stress et la pollution peuvent générer une accumulation de déchets dans notre intestin au fil des ans :

  • résidus de fibres
  • incrustations dures
  • revêtement muqueux mort
  • champignons
  • parasites

85 % des populations modernes souffrent de constipation chronique (Monnier, 2001).

80 % des états de mauvaise santé pourraient être évités si on prenait en compte l’importance de la fonction intestinale (Weinstein-Loison, 2008).

La rétention de déchets dans notre côlon empêche les substances nutritives d’être correctement absorbées. Pire : les toxines générées passent dans la circulation sanguine et entraînent une intoxication progressive de notre organisme.

Les spécialistes des autopsies disent que 60 à 70 % des côlons disséqués contiennent des matières fécales dures comme des pierres, datant de dizaines d’années (Tal Schaller, 2006).

Il est essentiel de nettoyer notre côlon afin de prévenir l’encrassement de l’organisme, source de la plupart des maladies modernes (Tal Schaller, 2006).

Indications

L’hydrothérapie du côlon est indiquée pour le traitement de nombreuses pathologies :

  • constipation
  • ballonnements
  • diarrhée
  • côlon irritable
  • paresse intestinale
  • gaz
  • colites
  • diverticules
  • maladie de Crohn
  • perte d’appétit
  • fatigue
  • dépression
  • problème de concentration
  • oedèmes
  • prise de poids
  • parasitoses
  • candidose, dysbiose
  • affections ORL (sinusite, rhinite)
  • dorsalgies, lombalgies
  • trouble du sommeil
  • acné, psoriasis, eczéma
  • migraines
  • allergies, asthme
  • cystites, troubles lors des menstruations
  • cure de détoxication, jeûne
  • prévention du cancer du côlon
  • stimulation des défenses naturelles de l’organisme

Une hydrothérapie est en outre pratiquée avec de grands bénéfices avant un examen médical du côlon.

Également appelée irrigation colonique, l’hydrothérapie du côlon est un processus de nettoyage minutieux du gros intestin par des bains successifs d’eau tiède.

C’est une méthode ancestrale qui était déjà pratiquée par de nombreuses civilisations : égyptienne, chinoise, grecque et indienne, …

Enceinte ?

Donner la vie est magnifique. Nous avons toutes envies que notre enfant à paraître soit le plus beau et surtout en bonne santé. Si la future maman à un corps sain débarrassé des substances toxiques accumulées au fil des années, elle offre un environnement propice au bon développement de son enfant.

A partir du 4e mois de grossesse, sur prescription médicale uniquement.

Et les enfants ?

Dès l’âge de 12 ans, particulièrement recommandé dans les cas de surpoids ou d’obésité de l’enfant.

On pense qu’un enfant n’a pas besoin de nettoyer son organisme. On se dit… pourquoi si jeune? Aujourd’hui, jeux vidéo, télévision, réseaux sociaux chips, fastfood, sodas, excès de sucres, etc. Ajoutez à cela le manque d’intérêt de nos enfants pour les fruits et légumes et tout est réuni pour provoquer divers symptômes et maladies tel que le diabète juvénile, obésité, allergies, cholestérol, hyperactivité, etc. Tout ceci démontre qu’un enfant doit aussi se détoxiquer pour son bon équilibre et pour sa santé. Le côlon fabrique 80% de notre système immunitaire.

Attention: l’information qui suit est d’une importance capitale pour la santé…

Quel est le moyen le plus efficace, le plus simple,le plus naturel et le moins cher de retrouver/conserver sa santé ? 

Qu’est-ce que Lady Di, John Lennon et Mae West (parmi tant d’autres) avaient en commun?

Réponse: ils nettoyaient régulièrement leur côlon.

… ?! …

Oui, je sais, dit comme ça, ça peut surprendre. Mais laissez-moi vous expliquer.

Je vais vous montrer comment une simple pratique d’hygiène ancestrale se révèle à nouveau aujourd’hui au grand public comme l’un des moyens les plus efficaces de recouvrer la santé. Ou de la conserver.

Je sais que vous vous intéressez à la santé, et vous avez certainement déjà entendu parler de l’irrigation du côlon. Evidemment, on n’a pas l’habitude de parler d’hygiène intestinale entre le fromage et le café dans les dîners entre amis. Ce n’est pas vraiment un sujet de conversation. Et encore moins si vous êtes une célébrité ou une personnalité importante. A moins que vous ne soyez un brin provocateur…

Or, tout le monde le sait, John Lennon et Mae West ont été de grands provocateurs et ils ne cachaient pas qu’ils pratiquaient l’irrigation du côlon. Mae West en était même devenue une fervente compulsive.

Pour ce qui est de la princesse Diana, sans le crier sur les toits, elle ne cachait pas non plus qu’elle retirait de grands bienfaits de sa pratique de l’irrigation du côlon. Au grand dam de son mari le Prince Charles et du reste de la famille royale qui voyaient là une extravagance de très mauvais goût. Diana s’en moquait et continuait, conformément au caractère fort qu’on lui connaissait.

Tous les magazines anglais se sont fait l’écho de ce petit mélodrame royal qui a beaucoup intéressé nos voisins d’outre-Manche, sans toutefois parvenir jusqu’à nous.

Il me fallait donner cette information au public francophone car elle est importante. Si on lit par exemple l’article paru dans The GLOBE le 1er juin 1993, la princesse Diana affirmait s’être débarrassée ni plus ni moins que de sa fatigue chronique, de ses allergies, ses migraines, sa boulimie, sa candidose, et de ses maux de gorge chroniques ! Excusez du peu.

Tout cela nous permet d’imaginer que la santé et le teint éclatant de Lady Di n’étaient pas simplement dus au hasard…

« Je me sens régénérée et purifiée »

« Je peux vraiment sentir les toxines qui s’éliminent pendant une séance« 

« C’est une sensation très agréable et réconfortante »

« Je me sens régénérée et purifiée.Ces traitements m’ont redonné des couleurs et une nouvelle vigueur… »

– La Princesse Diana –

Après sa mort, le nom de ses deux thérapeutes a même été révélé par la très informée et très aristocrate Lady Colin Campbell, grande spécialiste de la royauté anglaise, dans la biographie qu’elle a consacrée à la princesse, The Real Diana. Belle pub pour ces deux praticiens, et formidable promo pour l’irrigation du côlon qui a depuis explosé au Royaume-Uni !

C’est un signe des temps. Il n’est plus concevable qu’une pratique aussi simple et aussi efficace continue d’être aussi largement ignorée.

Vous voulez d’autres noms de célébrités ? En voici : Ben Affleck, Courtney Love, Gisele Bundchen, Andie MacDowell, Demi Moore, Janet Jackson, Cindy Crawford, Alicia Silverstone, Goldie Hawn, Kim Bassinger et Liv Tyler. Toutes ces stars se font régulièrement nettoyer le côlon !

Comme des milliers de « beautiful people », hommes et femmes d’affaires, sportifs de haut niveau, et bien sûr aussi : tant et tant de gens comme vous et moi.

La pop star Kenny Loggins (du groupe Loggins & Messina) a même épousé Julia Cooper, sa praticienne en irrigation du côlon… Il a déclaré : « je pratique l’irrigation du côlon pour maintenir mon équilibre émotionnel et me relier à mon moi profond », et aussi :« l’irrigation du côlon m’a débarrassé de mes maux de tête en ¼ d’heure ». 

Un des bienfaits de l’irrigation du côlon étant la perte de poids superflu (tous ces déchets accumulés qui encombrent le côlon, j’en parlerai plus loin), il est devenu courant à Hollywood de s’en faire faire une avant les grandes cérémonies ou réunions importantes comme la remise des Oscars !

Si on en juge par le look des stars que je viens de citer, la méthode doit avoir d’autres avantages qu’une simple perte de poids…

Je connais une clinique spécialisée où vont beaucoup de « people », à Palm Springs en Californie, à 500$ la journée. Un petit plaisir clairement réservé à une minorité de privilégiés !

La très vieille histoire d’une pratique surprenante… 

L’hygiène du côlon est un sujet qui a disparu des facultés de médecine et de la littérature médicale orthodoxe depuis le début du 20ème siècle. Et aujourd’hui, la plupart des médecins (même les gastro-entérologues) interrogés sur l’irrigation du côlon, ne savent pas de quoi il s’agit, et par conséquent… sont contre !!!

Pourtant, le côlon a été l’objet de soins particuliers depuis des temps immémoriaux. Selon la médecine ayurvédique multimillénaire, l’homme bien portant se définit en fonction de sa santé intestinale.

Le papyrus égyptien Ebers, découvert en 1862 et datant du 15ème siècle avant notre ère, nous propose une des premières descriptions connues de la pratique des lavements. Les civilisations les plus anciennes de la Mésopotamie à l’Amérique du Sud en passant par l’Egypte, la Grèce, la Chine, l’Inde, ont préconisé le nettoyage du gros intestin.

La plupart des grands noms de l’histoire de la médecine ont considéré cette pratique comme indispensable : Hippocrate, 4 siècles avant Jésus-Christ; plus près de nous, Ambroise Paré, puis Galien ont publié des écrits sur les bienfaits du nettoyage intestinal.

Dans L’Évangile essénien de la Paix, le disciple Jean fait dire à Jésus : « Ne vous imaginez pas qu’il soit suffisant que l’ange de l’eau vous embrasse extérieurement. Je vous le dis, en vérité, l’impureté intérieure est encore plus grande que l’impureté extérieure. (…) Aussi (…) souffrez que l’ange de l’eau vous baptise également à l’intérieur (…) ». Suit une explication détaillée sur la manière archaïque d’administrer un lavement avec l’aide d’une calebasse évidée pendue à un arbre, sa longue tige insérée dans l’anus.

Le Professeur Elie Metchnikoff de l’Institut Pasteur (Prix Nobel de médecine 1908) a appelé le côlon « l’assassin de l’homme » et a déclaré « la mort commence dans le côlon ». 

Le Dr John H. Kellogg, pionnier des méthodes naturelles de santé dont le nom est aujourd’hui associé aux fameux corn-flakes (bien malgré lui d’ailleurs, puisque c’est son frère et non lui, qui a développé ce produit bien peu diététique) affirmait en 1917, dans le Journal de l’American Medical Association, avoir utilisé l’irrigation du côlon pour éviter la chirurgie à 40.000 de ses patients.

Et c’était au début du 20ème siècle, bien avant que l’ «alimentation moderne» ne se généralise et fasse des ravages avec ses produits industriels dénaturés.

La popularité de l’irrigation du côlon atteint son apogée aux USA dans les années 1920, 1930 et 1940.
A cette époque, des machines pour nettoyer le côlon se voyaient couramment dans les hôpitaux et les cabinets médicaux. L’intérêt pour l’irrigation du côlon a ensuite décliné avec le développement des grands piliers de la médecine moderne, l’allopathie et la chirurgie.

« Au cours des 22.000 opérations que j’ai réalisées personnellement, je n’ai jamais trouvé un seul côlon normal. »

Docteur John H. Kellogg –

Norman Walker, véritable apôtre de l’irrigation du côlon, est mort à l’âge respectable de 99 ans. Il mourut paisiblement, pendant son sommeil. 

Victor E. Irons est un autre grand défenseur de l’hygiène intestinale. Gravement malade à l’âge de 40 ans, on lui annonça qu’il était condamné au fauteuil roulant jusqu’à la fin de ses jours. Refusant le verdict, il s’embarqua dans une quête de la santé et parvint à se guérir totalement en 14 mois ! Irons fonda une deuxième famille à l’âge de 72 ans et eu son dernier enfant à 80 ans. Et il eut encore le temps de l’élever et le voir grandir, puisque ce n’est qu’à l’âge de 98 ans qu’il mourut dans un malencontreux accident de voiture. Il continuait à monter à cheval à 90 ans et plus.

Amusant, n’est-ce pas, de voir que tant d’adeptes de l’irrigation du côlon vivent longtemps, et en parfaite santé…

Le Dr Bernard Jensen, décédé à l’âge de 93 ans, a fait de l’irrigation du côlon la base de son programme de détoxination. Il prétend avoir reçu en consultation ou dans ses trois cliniques aux USA plus de 350.000 patients. Sur la base de cette expérience unique, il nous propose dans ses ouvrages un plaidoyer irréfutable en faveur de cette pratique.

Edward Bach, célèbre découvreur des élixirs floraux, a aussi souligné, il y a 60 ans, l’importance d’une bonne hygiène intestinale.

De nos jours, l’irrigation du côlon s’impose à nouveau comme l’une des pratiques de santé les plus importantes, parmi le large éventail des médecines dites douces. Pour beaucoup d’hygiénistes et naturistes, elle constitue avec le jeûne la clé de la santé. L’irrigation du côlon fait partie intégrante du célèbre programme de santé du Dr Kousmine.


Le Dr Christian Tal Schaller, conférencier infatigable et auteur de plus de 30 livres, ne cesse d’insister sur l’importance de « L’hygiène intestinale » -précisément le titre de son dernier livre.

Selon le Dr G. Mouton, auteur du livre Ecosystème intestinal et santé, nous assistons aujourd’hui à une véritable révolution médicale, qui consiste à revoir la position occupée par nos intestins dans la hiérarchie de nos fonctions et de nos organes.

Comme mesure préventive, l’irrigation du côlon est la garantie d’une bonne résistance immunologique, mais au vu des résultats obtenus, elle est aussi un moyen de supprimer la cause de nombreuses maladies, tant aiguës que chroniques, et donc, selon toute vraisemblance, d’en guérir. En tout cas, elle permet d’améliorer nettement les résultats de toute thérapie. L’irrigation du côlon, par conséquent, s’adresse à tous, aux bien-portants comme aux personnes malades.

Mais pourquoi devez-vous nettoyer votre côlon ? 

Notre mode de vie moderne conduit inévitablement à l’accumulation dans le côlon de déchets putrides stagnants, que le corps n’a pas su éliminer.

Faisons ensemble un résumé des conditions dans lesquelles nous vivons, pour la plupart d’entre nous :

  • Nous consommons en permanence les « produits alimentaires » les plus improbables, au lieu de nous nourrir, simplement… d’aliments !
  • Nous sommes depuis longtemps obsédés par la consommation de viande –les protéines ! -, totalement infondée et particulièrement néfaste ;
  • Nous sommes stressés, entretenons des rancoeurs, des animosités, des émotions négatives ;
  • Nous absorbons de grandes quantités de substances chimiques : médicaments, drogues légales ou non, additifs alimentaires, pollution de l’air et des sols, etc. ;
  • Nous ne faisons pas assez d’exercice ;
  • Nous avons tout un tas d’habitudes de vie plus ou moins saines (euphémisme) – tabac, alcool, sucreries, sodas, coupe-faim divers…

Rayez les mentions inutiles (s’il en est!) et voyez où vous en êtes personnellement…

Avec un tel constat, comment espérer être en bonne santé ? Le plus souvent, ce que nous appelons commodément « produits alimentaires », ne sont tout simplement pas… des aliments !

Tout d’abord parce que la plupart des choses que nous mangeons sont indigestes ou associées à d’autres aliments incompatibles qui les rendent telles.

Et ensuite parce que toutes les habitudes de vie précédemment citées rendent le côlon paresseux, et perturbent le travail des bactéries amies qui sont indispensables à son bon fonctionnement.

L’idée que nos intestins feront toujours systématiquement leur travail, tant bien que mal, sans attention particulière de notre part, s’est généralisée de façon très pratique, parallèlement à une autre croyance, tout aussi erronée, selon laquelle tout ce que l’on peut acheter au supermarché ou préparer dans sa cuisine, sera reçu avec gratitude par notre organisme et cheminera inéluctablement de la table aux WC.

En vérité, rien n’est moins sûr. Il faudra bien finir par comprendre que le plus souvent, ce que l’on appelle commodément « produits alimentaires », ne sont tout simplement pas… des aliments ! Je me répète mais il est fondamental de prendre conscience de cette vérité et de ses conséquences pour notre santé.

Des déchets non digérés s’accumulent donc au fil des années sur les parois du côlon, occasionnant des fermentations et des putréfactions. Par la réabsorption par le circuit sanguin et la lymphe des toxines produites, le côlon devient une source d’auto-intoxication de tout l’organisme.

A la longue, et en fonction d’autres facteurs individuels comme l’hérédité, cette toxémie intestinale amorce un processus inexorable de perte de la vitalité et de l’immunité naturelle, qui conduit tôt ou tard à la maladie et à la dégénérescence.

Ces déchets finissent aussi par déformer (diverticulose) et irriter (colite) et enflammer les parois du côlon, rendant impossible un transit normal des matières fécales, et entravant davantage le travail de la flore intestinale.

Il est impossible, si l’on prend deux ou trois repas par jour (et même souvent davantage!), et étant donné les conditions dans lesquelles la plupart d’entre nous vivons, de ne pas être victime d’une accumulation dans le côlon de résidus alimentaires non éliminés.

Et dans une telle situation, le meilleur régime ne pourra rien pour vous.
D’ailleurs, qu’est-ce qu’un « bon » régime ? Personne ne peut le dire; les facteurs sont trop nombreux; nous sommes tous différents… On ne peut que s’en rapprocher, et par sécurité…, nettoyer régulièrement nos intestins!

En l’absence de mesures draconiennes de nettoyage, ces résidus finissent par former des couches épaisses qui tapissent les parois du côlon (imaginez que les éboueurs ne retirent pendant des années qu’une partie du volume de vos poubelles’). Après quelques dizaines d’années, ces couches peuvent atteindre une épaisseur de 12 mm et avoir la consistance du pneu !

Des autopsies ont même révélé des côlons dont le diamètre atteignait plus de 20 cm alors que l’espace libre pour laisser passer les matières fécales ne dépassait pas la taille d’un crayon !

Le seul endroit où l’on peut voir un côlon sain, c’est dans un livre d’anatomie.

– V.E. Irons –

Un individu moyen peut avoir en permanence de 5 à 10 kilos de déchets secs et durcis dans son côlon. Beaucoup plus dans les cas d’obésité ou d’allergies.

Et comme une photo vaut mille mots, en voici quelques-unes.

ATTENTION ! Ces photos peuvent gêner les personnes sensibles. Soyez sûr(e) d’être prêt(e) à contempler le genre d’horreurs qui encombrent le gros intestin de gens qui se considèrent souvent en « parfaite santé » !

Des déchets toxiques qui nous empoisonnent lentement, mais sûrement. 

Qui aurait pensé que de telles horreurs pouvaient s’accumuler dans notre organisme tout au long de notre vie? Et comment penser qu’elles n’ont pas une influence profondément néfaste sur notre santé ?

Observez comme ces guirlandes (malheureusement peu décoratives…) -dont certaines mesurent plus d’un mètre – ont la forme des replis et circonvolutions du côlon, montrant qu’elles en tapissaient bel et bien les parois !
Vraiment étonnant.
Aujourd’hui, un patient sur trois a un problème lié à ses intestins.
La constipation est un véritable fléau dans tous les pays développés.

Alors que le temps de transit normal de la nourriture à travers notre corps est inférieur à 24 heures, il est aujourd’hui en moyenne de 60 heures pour les hommes et de 70 heures pour les femmes.
Et si aller à la selle une fois par jour ne signifie rien en soi, beaucoup de gens sont loin d’y aller aussi souvent !

Selon Bernard Jensen, tous les malades ont des problèmes intestinaux. Le docteur John H. Kellogg a déclaré : « Au cours des 22.000 opérations que j’ai réalisées personnellement, je n’ai jamais trouvé un seul côlon normal ».

Les pathologies du côlon connaissent aujourd’hui une véritable explosion, en fréquence, intensité et sévérité. A la fin du 19ème siècle, la diverticulite était inconnue (il s’agit de l’inflammation des poches qui se forment sur les parois du côlon, du fait des déchets toxiques qui s’y accumulent).
Aujourd’hui, elle fait de véritables ravages dans nos sociétés modernes.
Il ne faut pas en être surpris.

Selon la Société Royale de Médecine de Grande-Bretagne, 90% de toutes les maladies chroniques sont dues à un côlon dysfonctionnel.

Le corps humain est une machine extrêmement résistante, ce qui nous fait croire que nous pouvons commettre impunément des erreurs alimentaires et excès divers, ad infinitum. Or, cette machine est aussi douée de la mémoire la plus formidable. Le corps n’oublie jamais rien ! Il encaisse, mais il n’oublie pas. Et tôt ou tard, il passe à la facture…

Notre civilisation est en train de payer la note de tant d’années de vie contre-nature.

Le cancer du côlon est en France la première cause de mortalité par cancer chez les non-fumeurs.
36 000 nouveaux cas par an en 2006, 16 000 décès.
En augmentation constante.

Laxatifs et stimulants du côlon se vendent par milliers de tonnes, ce qui est peut-être bon pour les laboratoires et les officines de pharmacie, mais témoigne avant tout de la façon désastreuse dont nous traitons nos intestins et de notre incapacité à les régénérer sûrement et durablement. La constipation est si commune qu’elle est devenue pour des millions de gens un véritable mode de vie.

Je connais une dame qui ne va tout simplement JAMAIS à la selle. Cela fait des années qu’elle a recours une fois par semaine à un lavement pour faire artificiellement le travail que dame Nature ne peut plus faire…

Les fameuses expériences du Dr Alexis Carrel 

Alexis Carrel, prix Nobel de médecine en 1912 nous a apporté des informations fondamentales sur l’utilité du nettoyage intestinal. Rappelons que Carrel parvint à maintenir en vie un coeur de poulet in vitro, dans un liquide nutritif, pendant plusieurs décennies -28 à 37 ans selon les sources. Or la durée de vie moyenne d’une poule est de 5 ans.

Carrel établit que la condition indispensable de la survie des cellules est l’élimination des déchets du métabolisme cellulaire, c’est-à-dire des déchets résultant du fonctionnement normal des cellules.

On attribue à Carrel la phrase : « Une cellule bien hydratée, bien nourrie, bien débarrassée de ses déchets se renouvelle perpétuellement », suggérant à long terme une possible immortalité des organismes. Ce thème sera souvent repris par Jean Rostand.

Carrel remarqua que si on laissait les cellules baigner dans leurs déjections plus de 3 jours, elles perdaient de la vigueur et mourraient.

Un côlon en mauvais état empoisonne tout l’organisme par un effet réflexe.

– Sir Arbuthnot Lane, chirurgien du roi d’Angleterre –

Les cellules du corps humain sont soumises aux mêmes lois biologiques ; si elles sont nourries par un sang qui n’a pas été convenablement purifié, elles perdront progressivement de leur vitalité et la capacité immunologique du corps en sera d’autant réduite.

La maladie et la dégénérescence s’installent de façon insidieuse dans les cellules de tissus envahis par des bactéries toxiques issues de la fermentation de déchets que le corps n’a pas su éliminer.

Je l’ai dit, les statistiques sont éloquentes: le cancer du côlon et tous les problèmes associés à cet organe – le syndrome du côlon irritable, colite, maladie de Crohn, diverticulite, candidose digestive, figurent en tout premier plan parmi les maladies des habitants du monde« civilisé ».

Mais ceci n’est que la pointe visible de l’iceberg: selon la Société Royale de Médecine de Grande-Bretagne, 90 % de toutes les maladies chroniques sont dues à un côlon en mauvais état.

Le Département de la santé des Etats-Unis, le célèbre United States Health Service, a également reconnu que plus de 90% des américains souffrent d’un côlon encombré.

Face aux symptômes les plus divers, souvent extrêmement gênants et douloureux, combien de patients se sont entendus dire en consultation « c’est nerveux », ou encore « c’est dans votre tête »… !

Aujourd’hui, on commence à prendre tout cela beaucoup plus au sérieux.
On sait qu’un côlon en mauvais état peut être la cause de tous ces maux. L’hygiène du côlon doit retrouver une des toutes premières places dans nos habitudes de vie et nos soins de santé, préventifs et curatifs.

Vous le comprenez maintenant : un côlon dysfonctionnel ne fait pas seulement courir le risque du cancer du côlon – il empoisonne aussi tout l’organisme !

C’est ce que découvrit Sir Arbuthnot Lane, chirurgien du roi d’Angleterre.
Il avait acquis une renommée internationale pour sa capacité à enlever des morceaux du côlon et recoudre ce qui restait.

« La mort commence dans le côlon »

Pr. Elie Metchnikov, Prix Nobel de médecine, 1908

Mais au cours de sa brillante carrière, il remarqua un curieux phénomène : certains patients guérissaient de problèmes de santé qui à priori n’avaient rien à voir avec l’opération du côlon qu’ils venaient de subir.

Par exemple, un enfant qui souffrait d’arthrite depuis des années était dans un fauteuil roulant à l’époque de son opération. Six mois plus tard, il était complètement guéri.

Un autre cas fut celui d’une femme avec un goitre. Après voir subi l’ablation d’une partie du côlon, elle guérit de son goitre en quelques mois.

D’autres expériences du même genre impressionnèrent tellement le Dr Lane qu’il fut conduit à établir une corrélation claire entre la toxémie du côlon et le fonctionnement des divers organes du corps.

Pendant les 25 dernières années de sa vie, il se consacra à promouvoir l’hygiène du côlon comme base de la santé.

Une infinité de symptômes sont attribuables à un côlon toxique et il ne servirait à rien d’essayer d’en dresser une liste. La simple observation des résultats impressionnants obtenus par des cures d’irrigation du côlon suffit à se convaincre du nombre insoupçonné de pathologies qui ont leur origine dans la toxémie du côlon.

La maladie n’est pas une fatalité qui s’abat au hasard sur les malchanceux. Elle est l’expression ultime du long processus d’affaiblissement d’un organisme intoxiqué, à la suite de l’accumulation dans le gros intestin de déchets toxiques non éliminés.

Tout processus de guérison doit donc impérativement commencer par un nettoyage intestinal complet. De fait, en agissant à la racine du mal, il n’est pas d’état pathologique que le nettoyage du côlon ne puisse améliorer, et souvent guérir complètement.

Alexis Carrel nous l’a montré, nous devons nourrir nos cellules avec un sang pur, oxygéné, et cela n’est possible qu’avec une parfaite hygiène intestinale, puisque le sang est le résultat de l’activité de l’appareil digestif.

A mesure que les pays en développement adopteront des modes de vie comparables à ceux de l’Europe […], ils devront faire face à une incidence du cancer beaucoup plus élevée, notamment des cancers du côlon, […]

– Rapport sur le cancer dans le monde, OMS, 3 avril 2003 Genève

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